Le trajet entre Sukothai et Ayuthaya m'a semblé interminable. Pas plus long qu'un autre, pas particulièrement inconfortable, mais étrangement pénible. En plus, on nous a débarqué en plein milieu de nulle part sur le bord d'une autoroute à 20 minutes encore de la ville. Heureusement, ça n'a pas pris 2 minutes et un bus local passait par là! C'était trop génial comme autobus. Rouge pompier à l'intérieur et à l'extérieur avec des ventilateurs installés tout au long du plafond. Super rétro.
Enfin arrivées au centre, nous avons aboutit dans une guesthouse dégueulasse (mais pas chère) puisque les autres endroits abordables affichaient complet. Chambre bleu (peinture) et brune (le moisi et la rouille) avec des trous dans le plancher de ciment poussiéreux (d'où sortaient les coquerelles), une salle de bain avec toilette turque (commune) sale habitée par des moustiques (à la tonne) et un crapeau (pas beau). Moche quoi. En plus, je me suis rendue compte pendant la nuit qu'il y avait des punaises dans mon lit. Dès le lendemain matin, Amélie est allée à la guesthouse où nous voulions aller à la base pour voir si des gens quittaient leur chambre. Et OUI! Nous : 1, le trou à rat : 0. Toujours pas notre salle de bain (mais ça nous sommes habituées), mais la commune était propre et la chambre aussi! Nous étions tout simplement enchantées!
Pourquoi Ayuthaya ? Simplement parce que c'est sur le chemin et c'est une petite ville parsemée de ruines et de temples. C'est une ancienne capitale royale qui un jour fut une puissance asiatique... Il y a des restes. Certains sans intérêts et d'autres plus impressionnants. Nous avons circulé à vélo encore une fois. Par contre, c'était plus dangeureux qu'à Sukothai car c'était en plein dans la ville! Nous avons zigzagué en arrêtant dans les ruines, mais aussi dans des temples actifs (et très populaires la fin de semaine). Nous avons croisé des éléphants taxis (qu'Amélie a beaucoup aimés :), nous avons été agréablement surprises par les distributeurs d'eau potable à 1 bath le litre et encore plus étonnées d'apprendre que l'eau des robinets thailandais serait potable... Je ne sais pas si je vais tester ça par contre! À 1 bath le litre, je pense préférer utiliser ma grosse gourde et éviter un séjour prolongé dans une salle de bain!
Ayuthaya est donc une petite ville historiquement très importante que nous avons parcouru en suant. Notre découverte de l'endroit : les roti sai mai. MIAM! Les petits marchés avec des kiosques de nourritures sont nombreux. Souvent à proximité de l'eau. On y vend pas mal tout ce qui se mange dans le coin. C'est dans ce type d'endroit que nous nous tenons. Mais pour un dîner, nous avons décidé d'aller dans le quartier musulman pour essayer les fameux roti sai mai. Petite crête couleur verdâtre avec laquelle il faut enrouler des fils de sucre de canne à sucre qui ont la texture de la barbe à papa. C'est si bon, on ne se pouvait plus. En plus, comme nous étions à l'opposé de tous les endroits où se tiennent les touristes, nous avons mangé, bu et rempli nos ventres de sucre (il a même fallu rapporter le reste des rotis tellement il y en avait) pour presque rien. C'est toujours les endroits les plus reculés qui sont les meilleurs marchés et surtout qui offrent la meilleure nourriture.
Enfin arrivées au centre, nous avons aboutit dans une guesthouse dégueulasse (mais pas chère) puisque les autres endroits abordables affichaient complet. Chambre bleu (peinture) et brune (le moisi et la rouille) avec des trous dans le plancher de ciment poussiéreux (d'où sortaient les coquerelles), une salle de bain avec toilette turque (commune) sale habitée par des moustiques (à la tonne) et un crapeau (pas beau). Moche quoi. En plus, je me suis rendue compte pendant la nuit qu'il y avait des punaises dans mon lit. Dès le lendemain matin, Amélie est allée à la guesthouse où nous voulions aller à la base pour voir si des gens quittaient leur chambre. Et OUI! Nous : 1, le trou à rat : 0. Toujours pas notre salle de bain (mais ça nous sommes habituées), mais la commune était propre et la chambre aussi! Nous étions tout simplement enchantées!
Pourquoi Ayuthaya ? Simplement parce que c'est sur le chemin et c'est une petite ville parsemée de ruines et de temples. C'est une ancienne capitale royale qui un jour fut une puissance asiatique... Il y a des restes. Certains sans intérêts et d'autres plus impressionnants. Nous avons circulé à vélo encore une fois. Par contre, c'était plus dangeureux qu'à Sukothai car c'était en plein dans la ville! Nous avons zigzagué en arrêtant dans les ruines, mais aussi dans des temples actifs (et très populaires la fin de semaine). Nous avons croisé des éléphants taxis (qu'Amélie a beaucoup aimés :), nous avons été agréablement surprises par les distributeurs d'eau potable à 1 bath le litre et encore plus étonnées d'apprendre que l'eau des robinets thailandais serait potable... Je ne sais pas si je vais tester ça par contre! À 1 bath le litre, je pense préférer utiliser ma grosse gourde et éviter un séjour prolongé dans une salle de bain!
Ayuthaya est donc une petite ville historiquement très importante que nous avons parcouru en suant. Notre découverte de l'endroit : les roti sai mai. MIAM! Les petits marchés avec des kiosques de nourritures sont nombreux. Souvent à proximité de l'eau. On y vend pas mal tout ce qui se mange dans le coin. C'est dans ce type d'endroit que nous nous tenons. Mais pour un dîner, nous avons décidé d'aller dans le quartier musulman pour essayer les fameux roti sai mai. Petite crête couleur verdâtre avec laquelle il faut enrouler des fils de sucre de canne à sucre qui ont la texture de la barbe à papa. C'est si bon, on ne se pouvait plus. En plus, comme nous étions à l'opposé de tous les endroits où se tiennent les touristes, nous avons mangé, bu et rempli nos ventres de sucre (il a même fallu rapporter le reste des rotis tellement il y en avait) pour presque rien. C'est toujours les endroits les plus reculés qui sont les meilleurs marchés et surtout qui offrent la meilleure nourriture.
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