Rendez-vous au bus pour se rendre à un autre port pour ensuite prendre un petit bateau vers les Gilis. Dans le bus, le gars essaie de nous vendre notre billet de retour en nous disant qu'on ne trouvera rien sur place... Vente à pression. Je n'aime pas, je n'achète pas. Bien fait d'ailleurs!
Descendues de l'autobus, nous avons marché jusqu'au port en lançant des ''no, thank you'' aux vendeurs de bracelets et de colliers. Je dois toutefois avouer qu'une sorte de bracelet m'avait accroché l'oeil et que j'aurais tellement plus l'air en vacance avec un de ceux-là accroché au poignet!
Du port, un petit bateau remplit d'Indonésiens, de fruits, légumes et autres nécessésités (comprendre : des touristes) nous a amené jusqu'à l'île Gili Air où nous avons débarqué sur une plage où nous avons fait connaissance avec notre première étoile de mer. Le sable est blanc, l'eau est chaude et il fait extrêmement chaud. D'un pas décidé, nous longeons la plage pour finir (après ce qui nous a semblé comme une interminable marche) par se trouver une (parmi tant d'autres) guesthouse directement sur la plage. Un petit bungalow au toit de paille qui fait face à la mer et son eau pristine. Le seul petit incovénient à cette île paradisiaque, ce sont les plages pleines de coraux échoués qui vous coupent les pieds à chaque pas tenté sans gougounes! Il est tout de même agréable de s'allonger dans cette eau bouillante pour regarder le paysage magnifique qui nous est offert.
Après cette baignade bien méritée, nous avons pénétré à l'intérieur de l'île pour tenter d'avoir un aperçu de la vie de ses habitants. L'île étant très sèche. Il n'y a pas beaucoup de verdure. Tout est jaune et les quelques plantes qui tentent de survivre ont bien de la difficulté.
Malgré cette chaleur écrasante, les habitant de Gili Air sont tous souriants et avenants. Rares sont ceux qui ne nous enverrons pas un ''heeellooooo'' bien senti. Chaque personne s'affaire sur son terrain, les enfants sont occupés à rire et à s'amuser et nous, à s'assurer de ne pas être écrasées par un poney-taxi qui arrive à toute allure. Parce qu'en effet, il n'y a aucun véhicule motorisé sur cette île. Juste des chariots tirés par des poneys... qu'eux appellent des chevaux. Conséquence... quand je demande combien coûte un trajet de poney... on ne me comprend pas, jusqu'à ce qu'Amélie dise non non, un trajet à cheval. Cheval très nain... peut-être bien!
Le soir venu, quoi de mieux que de boire un verre. Amélie une bière, moi un cocktail... tout ça sous un toit de paille, avec le soleil qui se couche sur une mer magnifique.
Descendues de l'autobus, nous avons marché jusqu'au port en lançant des ''no, thank you'' aux vendeurs de bracelets et de colliers. Je dois toutefois avouer qu'une sorte de bracelet m'avait accroché l'oeil et que j'aurais tellement plus l'air en vacance avec un de ceux-là accroché au poignet!
Du port, un petit bateau remplit d'Indonésiens, de fruits, légumes et autres nécessésités (comprendre : des touristes) nous a amené jusqu'à l'île Gili Air où nous avons débarqué sur une plage où nous avons fait connaissance avec notre première étoile de mer. Le sable est blanc, l'eau est chaude et il fait extrêmement chaud. D'un pas décidé, nous longeons la plage pour finir (après ce qui nous a semblé comme une interminable marche) par se trouver une (parmi tant d'autres) guesthouse directement sur la plage. Un petit bungalow au toit de paille qui fait face à la mer et son eau pristine. Le seul petit incovénient à cette île paradisiaque, ce sont les plages pleines de coraux échoués qui vous coupent les pieds à chaque pas tenté sans gougounes! Il est tout de même agréable de s'allonger dans cette eau bouillante pour regarder le paysage magnifique qui nous est offert.
Après cette baignade bien méritée, nous avons pénétré à l'intérieur de l'île pour tenter d'avoir un aperçu de la vie de ses habitants. L'île étant très sèche. Il n'y a pas beaucoup de verdure. Tout est jaune et les quelques plantes qui tentent de survivre ont bien de la difficulté.
Malgré cette chaleur écrasante, les habitant de Gili Air sont tous souriants et avenants. Rares sont ceux qui ne nous enverrons pas un ''heeellooooo'' bien senti. Chaque personne s'affaire sur son terrain, les enfants sont occupés à rire et à s'amuser et nous, à s'assurer de ne pas être écrasées par un poney-taxi qui arrive à toute allure. Parce qu'en effet, il n'y a aucun véhicule motorisé sur cette île. Juste des chariots tirés par des poneys... qu'eux appellent des chevaux. Conséquence... quand je demande combien coûte un trajet de poney... on ne me comprend pas, jusqu'à ce qu'Amélie dise non non, un trajet à cheval. Cheval très nain... peut-être bien!
Le soir venu, quoi de mieux que de boire un verre. Amélie une bière, moi un cocktail... tout ça sous un toit de paille, avec le soleil qui se couche sur une mer magnifique.
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