Nous quittons déjà les Gilis après deux jours complet à s'y prélasser. On quitte la Suédoise expatriée qui y vit à longueur d'année à cause de ses rhumatismes. On se paie un fastboat jusqu'à Amed, sur l'île de Bali. Ça n'a pris qu'une heure et on a eu droit à un spectacle de dauphins. Le capitaine à arrêter le bateau un bon 10 minutes pour que ses 4 passagers puissent profiter de la vue des dauphins qui nagent autour du bateau et qui remontent à la surface pour nous titiller. On voyait où ils s'en allait étant donné la clareté de l'eau... D'un bord à l'autre du bateau ils se faisaient aller. De toute beauté.
Bref. Le fastboat. Je ne regrette pas parce que c'était TRÈS rapide (mon mal des transport vient de parler) et nous avons eu un super moment avec les dauphins.
Je regrette parce que ça pollue plus et ça coûte cher. Bon. Voilà. Ne pas refaire... du moins essayer de ne pas refaire!
Arrivées à Amed, petit village de pêcheurs, nous descendons du bateau en face de la guesthouse où nous allions rester (une chance que le transport entre le port et celle-ci était compris dans le billet du bateau.. parce que oui, oui, tu paies à peine plus cher et on t'amène à la porte de l'hôtel en bus... ah ouin.) Bref, tant pis, de toute façon, je ne savais pas situer sur une carte l'endroit où nous allions dormir. Je ne connaissais que le nom puisque ça appartient à l'oncle d'une amie de la Ronde. Simon Lavoie il s'appelle. Juste en prononçant son nom, on a eu droit à un meilleur tarif. Il n'est même pas là. Il n'arrive que dans deux jours.
Petit bungalow sympa au pied d'un volcan, sur le bord de la plage de sable noir volcanique. Petit hic. Il n'y a personne qui a habité ici depuis une semaine et les coquerelles ont envahi les tuyaux. Le soir venu, elles sont sorties.
Alors que nous arrivions d'une marche, durant laquelle nous avions monté une colline pour regarder le coucher de soleil sur le volcan derrière la plage, je suis allée à la chambre chercher du chasse moustique. Cinq petites bêtes m'y attendaient. Le massacre commence. Bang Bang Bang. Je les jette dehors. Amélie, qui entend les coups que je donne de l'autre côté de la rue vient voir ce qui se passe. Je lui dis. Elle n'aime pas. Nous le disons donc à la trop gentille dame qui s'occupe de l'endroit. Elle promet de s'en occuper le lendemain (ce qu'elle a fait!!). En rentrant, encore 3. Puis 2 autres. Folie meutrière.
C'est la nuit. Je vais à la salle de bain. Deux de plus. Amélie commence à être malade. Probablement quelque chose qui s'est mal digéré. Une autre amie l'attend dans la pièce d'à côté. Je me lève. Massacre. Panne d'électricité. Plus de ventilateur. Un énorme orage dehors. Les vagues sont bruyantes. Amélie ne dort pas. Moi non plus. ZZZzzzz.
jeudi 29 octobre 2009
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