J'ai aimé dès les premières minutes. Amélie trouve que j'ai été très rapide en 'amour', mais que voulez-vous, je me sentais bien!
Nous avons débarqué de l'autobus en plein milieu du Chinatown et avons décidé d'y trouver un hébergement. Mon ami Maxime m'avait recommandé la petite Inde, mais elle était loin (en considérant la chaleur incroyable et les gros sacs-à-dos... car en fait, elle n'était pas loin du tout... une quinzaine de minutes à pied). De toute façon, nous avons fait une bonne affaire, même les partisans de l'autre quartier nous ont dit que nous étions tombées sur un bon 'deal'. Tant mieux!
Le premier jour, nous l'avons passé dans notre quartier chinois à explorer les supermarchés et les rues marchandes où tout le monde tentait de nous vendre les lunettes, sacoches, montres, souliers, vêtements (...) dernier cri, mais faux. Le paradis de la copie (ou un des paradis car l'Asie est pleine de ça!). J'en ai profité pour me procurer une nouvelle paire de lunettes de soleil, les miennes étant pas mal dans leurs derniers moments de vie!
Nous étions de retour dans le monde de la mobilette et du respect moyen de la signalisation routière. À nouveau dans un pays musulman après un court arrêt. Il m'a semblé qu'il y avait beaucoup plus de femmes voilées ici qu'en Indonésie. Mais il y a tout de même, comme ailleurs, une partie de la population qui n'est pas musulmane. Comme dans toutes les grandes villes, ça doit être moins conservateur qu'en campagne. Personne ne semble choqué par les touristes qui s'habillent avec des vêtements tellement courts qu'on les croirait presque en maillot de bain. Ce n'est certainement pas bien vu, mais pas catastrophique. C'est une image parfaite de l'islam modéré où oui, il y a les mosquées, la prière, le voile, mais où les couples se promènent main dans la main sans gêne et où on peut même apercevoir des marques d'affection.
Et le symbole de Kuala Lumpur ? Sa fierté ? Évidement, les tours Pétronas. Et il y a de quoi! Je pense que ce sont les bâtiments urbains les plus beaux que j'ai vu. Immenses et brillantes, elles m'ont charmée au premier coup d'oeil... De proche, encore mieux! Par une chaleur intense, nous sommes allées jusqu'à celles-ci avec l'objectif de monter dans le petit pont qui relie les deux tours. Nous arrivons en après-midi et il y a une affiche qui affiche complet pour la journée. Bou. Nous demandons à qu'elle heure d'habitude ils vendent leur dernier billet et on nous répond 8h30 du matin. Et ça ouvre à quelle heure ? 8h30... ah d'accord, je vois. On se dit tant pis! Mais on va aller voir le petit musée sur la construction tout de même! On y apprend, que 60% des matériaux utilisés proviennent de la Malaysie et que grâce à l'aide internationale, les ingénieurs malaysiens ont appris beaucoup de nouvelles techniques de construction et que ça les a fait avancer côté architectural si je peux dire.
Pendant que nous étions dans le musée, une dame est venue nous demander si nous avions des billets pour 15h. Et non. Amélie lui demande s'il lui reste des places et OUI! Alors hop, on monte sur le pont au 41ème étage. C'est bien, mais sans plus! Ahah! Mais tout de même, j'imagine que nous l'aurions regretté autrement!
En descendant des tours, il se met à pleuvoir, mais une pluie torentielle. Tellement forte! Les éclairs étaient fous! Alors pendant trois heures, nous sommes restées prises dans le centre d'achat pétronas (les tours sont des bureaux, mais aussi un centre d'achat et de loisirs plein de restaurants!). Il faisait froid! Le même air climatisé trop fort et insupportable.
Une fois la pluie terminée, nous sortons pour admirer les tours de nuit. Encore plus magnifique. Mais vite, direction Kuala Lumpur Tour (tour de la télévision) pour avoir une vue de la ville la nuit. Monter dans les tours c'est gratuit, mais dans celle-là, c'est cher!!!! Comme on y était! Mais là, petite (moyenne ?!?) déception, la vue des tours Pétronas est moche! Elles sont de côté! Mais nous avons beaucoup ris de là haut. En sortant, il y avait un petit zoo que Amélie a eu bien du plaisir à visiter (c'était compris dans le prix totalement exagéré du billet pour monter). Dans un coin, il y avait des ratons laveurs. Très drôle car pour eux c'est très exotique!
Ensuite, c'était la découverte de la petite Inde et des quartiers avoisinants. Manger et marcher... tel était notre but. Visiter les environs quoi! La place de l'indépendance, la mosquée nationale, les marchés. Nous ne voulions pas rentrer trop tard parce que le soir les coquerelles ressortent et là bof. Pas envie. De toute façon, le marché de soir de la petite Inde qui devait être plus intéressant était le samedi... Nous y sommes d'ailleurs retournées ledit samedi, mais c'était encore une fois, la flotte totale. Humide et mouillé, alors que nous allions coucher à l'aéroport car notre vol du lendemain était à 6h30 et les taxis à 4h du matin... nous ont fortement été déconseillés car très chers puisque la nuit... et car l'aéroport est à une cinquantaine de kilomètres de la ville. Bref, c'était plutôt moche qu'il fasse si mauvais pour notre dernière journée que nous avons passé à courir entre les trottoirs abrités pour essayer de se garder le plus possible au sec. Nous avons tout de même été chanceuse... des Malaysiens ont partagé leurs parapluies et au marché, alors que nous étions sous une tente de vendeur de fruits, une dame (cliente) nous a offert une sorte de fruit trop bon dont je ne me souviens pas le nom. C'est une boule rouge avec des pics verts, c'est mou, ça s'ouvre, ça a un noyau et c'est délicieux! Elle nous en a donné 4 parce qu'elle voulait que nous goûtions! Juste avant j'avais fait goûter à Amélie des mangoosteen comme j'avais mangé avec Sarah au Sri Lanka et qu'il y a partout ici... MIAM!
Les gens étaient trop sympathiques à Kuala Lumpur. Pas de mauvaise expérience pour moi. J'ai adoré. La seule chose qui nous a moins plu de la ville c'est : le soir tombé, les coquerelles ressortent comme je disais plus tôt. Sur les bouches d'égoûts il y en a des dizaines! Les gens marchent sans les remarquer... ou les regarder, je ne sais trop, mais YAK! Et lors de notre première soirée... en revenant d'un marché où nous avions mangé, nous marchions tranquillement quand tout à coup, elles se mettent à nous sauter dessus... Aahhhh ! Amélie criait, les gens riaient et moi j'en avais une dans le cou et l'autre dans le dos. La bouche fermée, il faut garder la bouche fermée pour pas que ça rentre. En bout de ligne, ça nous a fait rire, mais sur le coup c'était dégoutant tellement il y en avait... et sur nous en plus!
Nous avons débarqué de l'autobus en plein milieu du Chinatown et avons décidé d'y trouver un hébergement. Mon ami Maxime m'avait recommandé la petite Inde, mais elle était loin (en considérant la chaleur incroyable et les gros sacs-à-dos... car en fait, elle n'était pas loin du tout... une quinzaine de minutes à pied). De toute façon, nous avons fait une bonne affaire, même les partisans de l'autre quartier nous ont dit que nous étions tombées sur un bon 'deal'. Tant mieux!
Le premier jour, nous l'avons passé dans notre quartier chinois à explorer les supermarchés et les rues marchandes où tout le monde tentait de nous vendre les lunettes, sacoches, montres, souliers, vêtements (...) dernier cri, mais faux. Le paradis de la copie (ou un des paradis car l'Asie est pleine de ça!). J'en ai profité pour me procurer une nouvelle paire de lunettes de soleil, les miennes étant pas mal dans leurs derniers moments de vie!
Nous étions de retour dans le monde de la mobilette et du respect moyen de la signalisation routière. À nouveau dans un pays musulman après un court arrêt. Il m'a semblé qu'il y avait beaucoup plus de femmes voilées ici qu'en Indonésie. Mais il y a tout de même, comme ailleurs, une partie de la population qui n'est pas musulmane. Comme dans toutes les grandes villes, ça doit être moins conservateur qu'en campagne. Personne ne semble choqué par les touristes qui s'habillent avec des vêtements tellement courts qu'on les croirait presque en maillot de bain. Ce n'est certainement pas bien vu, mais pas catastrophique. C'est une image parfaite de l'islam modéré où oui, il y a les mosquées, la prière, le voile, mais où les couples se promènent main dans la main sans gêne et où on peut même apercevoir des marques d'affection.
Et le symbole de Kuala Lumpur ? Sa fierté ? Évidement, les tours Pétronas. Et il y a de quoi! Je pense que ce sont les bâtiments urbains les plus beaux que j'ai vu. Immenses et brillantes, elles m'ont charmée au premier coup d'oeil... De proche, encore mieux! Par une chaleur intense, nous sommes allées jusqu'à celles-ci avec l'objectif de monter dans le petit pont qui relie les deux tours. Nous arrivons en après-midi et il y a une affiche qui affiche complet pour la journée. Bou. Nous demandons à qu'elle heure d'habitude ils vendent leur dernier billet et on nous répond 8h30 du matin. Et ça ouvre à quelle heure ? 8h30... ah d'accord, je vois. On se dit tant pis! Mais on va aller voir le petit musée sur la construction tout de même! On y apprend, que 60% des matériaux utilisés proviennent de la Malaysie et que grâce à l'aide internationale, les ingénieurs malaysiens ont appris beaucoup de nouvelles techniques de construction et que ça les a fait avancer côté architectural si je peux dire.
Pendant que nous étions dans le musée, une dame est venue nous demander si nous avions des billets pour 15h. Et non. Amélie lui demande s'il lui reste des places et OUI! Alors hop, on monte sur le pont au 41ème étage. C'est bien, mais sans plus! Ahah! Mais tout de même, j'imagine que nous l'aurions regretté autrement!
En descendant des tours, il se met à pleuvoir, mais une pluie torentielle. Tellement forte! Les éclairs étaient fous! Alors pendant trois heures, nous sommes restées prises dans le centre d'achat pétronas (les tours sont des bureaux, mais aussi un centre d'achat et de loisirs plein de restaurants!). Il faisait froid! Le même air climatisé trop fort et insupportable.
Une fois la pluie terminée, nous sortons pour admirer les tours de nuit. Encore plus magnifique. Mais vite, direction Kuala Lumpur Tour (tour de la télévision) pour avoir une vue de la ville la nuit. Monter dans les tours c'est gratuit, mais dans celle-là, c'est cher!!!! Comme on y était! Mais là, petite (moyenne ?!?) déception, la vue des tours Pétronas est moche! Elles sont de côté! Mais nous avons beaucoup ris de là haut. En sortant, il y avait un petit zoo que Amélie a eu bien du plaisir à visiter (c'était compris dans le prix totalement exagéré du billet pour monter). Dans un coin, il y avait des ratons laveurs. Très drôle car pour eux c'est très exotique!
Ensuite, c'était la découverte de la petite Inde et des quartiers avoisinants. Manger et marcher... tel était notre but. Visiter les environs quoi! La place de l'indépendance, la mosquée nationale, les marchés. Nous ne voulions pas rentrer trop tard parce que le soir les coquerelles ressortent et là bof. Pas envie. De toute façon, le marché de soir de la petite Inde qui devait être plus intéressant était le samedi... Nous y sommes d'ailleurs retournées ledit samedi, mais c'était encore une fois, la flotte totale. Humide et mouillé, alors que nous allions coucher à l'aéroport car notre vol du lendemain était à 6h30 et les taxis à 4h du matin... nous ont fortement été déconseillés car très chers puisque la nuit... et car l'aéroport est à une cinquantaine de kilomètres de la ville. Bref, c'était plutôt moche qu'il fasse si mauvais pour notre dernière journée que nous avons passé à courir entre les trottoirs abrités pour essayer de se garder le plus possible au sec. Nous avons tout de même été chanceuse... des Malaysiens ont partagé leurs parapluies et au marché, alors que nous étions sous une tente de vendeur de fruits, une dame (cliente) nous a offert une sorte de fruit trop bon dont je ne me souviens pas le nom. C'est une boule rouge avec des pics verts, c'est mou, ça s'ouvre, ça a un noyau et c'est délicieux! Elle nous en a donné 4 parce qu'elle voulait que nous goûtions! Juste avant j'avais fait goûter à Amélie des mangoosteen comme j'avais mangé avec Sarah au Sri Lanka et qu'il y a partout ici... MIAM!
Les gens étaient trop sympathiques à Kuala Lumpur. Pas de mauvaise expérience pour moi. J'ai adoré. La seule chose qui nous a moins plu de la ville c'est : le soir tombé, les coquerelles ressortent comme je disais plus tôt. Sur les bouches d'égoûts il y en a des dizaines! Les gens marchent sans les remarquer... ou les regarder, je ne sais trop, mais YAK! Et lors de notre première soirée... en revenant d'un marché où nous avions mangé, nous marchions tranquillement quand tout à coup, elles se mettent à nous sauter dessus... Aahhhh ! Amélie criait, les gens riaient et moi j'en avais une dans le cou et l'autre dans le dos. La bouche fermée, il faut garder la bouche fermée pour pas que ça rentre. En bout de ligne, ça nous a fait rire, mais sur le coup c'était dégoutant tellement il y en avait... et sur nous en plus!
Hahahaha, j'aurais aimé voir l'attaque des coquerelles ! Dommage pour la petite Inde, mais si tu as vu celle de Singapour, tu manques pas grand chose de plus finalement.
RépondreSupprimerJ'avais bien aimé les tours Petronas, une anecdote intéressante est que les deux tours ont été construites par 2 entreprises différentes qui rivalisaient tout au long du projet pour finir en premier leur tour. Le pont bouge continuellement aussi pour résister aux vents et tempêtes !
L'avion ?!? Pour le Vietnam déjà... et le sud de la Thailande ds tout ça ?
YARK les coquerelles!!!!! :))) Mais wow tout le reste! :)
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